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Randall Vanbel
Invité
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Anonymous
// Lun 9 Avr - 23:51
Randall Vanbel
prénomRandall
nomVanbel
date de naissance29/01
âge29 ans
sexemasculin
métierinspecteur
Vos relations
parents
Nora Vanbel, mère de 52 ans
Institutrice désabusée, la grande passion qui animait sa jeunesse l'a depuis longtemps quittée, soufflée par les années et l'indifférence d'un monde pour qui l'éducation n'est plus qu'un projet arriéré.
Cinquantenaire fatiguée, elle n'a jamais privé ses enfants de ses tristes sourires, et de plats encouragements nimbés d'une résolution durement ancrée dans ses yeux éteints.
Cahal Vanbel, père de 51 ans
Un homme d'âge mûr, avare en paroles et qui semble perpétuellement rongé par la mélancolie. Artiste peintre dans ses jeunes années, il a bien vite troqué ses pinceaux contre câblages et outils pour échapper à l'ombre grandissante qui menaçait un ego fragile. Devenu électricien pour rapporter un peu de pain, il n'en a pas moins gardé une certaine aigreur, témoin de la rancœur qu'il se porte à lui-même.
Frères/Soeurs
Cait Vanbel, sœur de 24 ans
étudiante en droits, plus complice avec Randall que n'importe qui. Frère et sœur se contactent quotidiennement, se livrent tout et se conseillent sur leurs sentiments, leurs partenaires, leurs histoires de cœur le plus souvent.
Animée d'une joie naturelle qui manque si cruellement à ses parents, elle est la lueur positive qui tire sa famille vers l'avant.
autres
Enfant Aucun
Famille En bons termes avec tout le monde
Orientation sexuelle  Homosexuel
Situation conjugale Polygame
Partenaires Au nombre de trois pour l'instant
Anciens partenaires  Trop nombreux à énumérer
Personnalité
Ce que tu aimes
Partager ma vie et arrêter des bandits, c'est tout ce qui me suffit. J'aime être en bonne compagnie, cuisiner pour quelqu'un que j'apprécie. J'aime ma famille, mes compagnons et mes amis, pour lesquels je serais sûrement prêt à donner ma vie.
Oserais-je parler de mes autres penchants ? Comme le plaisir primaire de voir un piège mené par mes soins se refermer sur une proie, la satisfaction d'assister à l'accomplissement d'une vengeance réelle ou fictive, le privilège de pouvoir dominer un individu jugé malfaisant ou plus encore... de le voir souffrir.
Ce que tu détestes
La bile menace de m'étouffer quand je pense à tous les salopards qui finissent en liberté à cause de flics incompétents. Je hais la politique, les gens indécis et ceux qui ferment les yeux quand ils auraient le pouvoir de changer les choses.
Je n'aime pas les hypocrites, les gens coincés et les beaux-parleurs.
autres
Film favoris Hellraiser - cinéma fantastique et underground
Musique favorite Aerosmith - rock indépendant en général
Pokémon favoris  Fulguris - dieu de colère et de destruction
Nourriture favorite Ce qui pue le fric - peu importe le goût
Loisir(s)
La musique, le cinéma, la baise et l'entraînement de mes compagnons et partenaires sont les loisirs les plus stimulants pour moi.
J'ai aussi développé au fil de mes rencontres une certaine passion pour le shibari, et différentes pratiques nécessitant un partenaire et une confiance aveugle.
Bébécaille // Hardi // Anti-bruit
Samuel ♀
Sam est imprévisible, farouche, bagarreuse. Elle a l’œil brillant de méfiance et d'animosité, la gueule animée de frissons de prédation quand quiconque passe à sa portée. Elle fait rouler dans sa gorge un orage déchaîné si l'on essaye de la toucher sans qu'elle l'ait demandé.
Sam n'a pas que ça à faire ! Elle est là pour grogner, pour mordre sans jamais lâcher, pour frapper son os frontal dans votre entrejambe sans prévenir ou briser les tibias d'une proie qui voudrait s'enfuir.
Sam est intelligente, mais elle ne veut pas être dressée. Elle aime qu'on la défie, j'en ai gagné deux côtes fêlées le jour où je l'ai rencontrée dans une décharge abandonnée. Elle est comme ma dulcinée, et je ne pourrais jamais me passer de ses rappels à l'ordre, de ses réveils invasifs quand elle bondit sur mon lit en ruant et grondant comme un Tauros furieux. Elle est ma partenaire et ma fidèle compagne. Qu'à cela ne tienne si je ne peux l'approcher sans un retour de bâton, je l'aime telle qu'elle est.
Vipelierre // Sérieux // Engrais
Jess ♀
Jess m'a été offerte avec un joli paquet, et un très beau ruban pour orner ce cadeau empoisonné. Jess est mépris. Jess est dégoût. Jess refuse que je la touche comme si j'étais un pestiféré. Si j'ai le malheur d'insister, sa petite silhouette silencieuse et sereine se mue en vipère assassine ; elle siffle et crache et montre ses petits crochets effilés en faisant bruisser ses feuilles avec hostilité.
Jess n'est pas un cadeau, certes, mais elle m'amuse et me plait. Je ne sais pas qui est l'irresponsable qui l'a élevée, mais il lui a transmis le goût du poison à fumer. Mon amusement passé, devant ses airs de grande dame, je lui ai offert une pipe électronique en espérant la voir vivre encore quelques années. Et aussi pour éviter cette fâcheuse tendance qu'elle avait à pickpocketer tous ceux qui partageaient son vice. Au moins, l'objet semble lui plaire et la contenter.
Contrairement à Sam, Jess a été très tôt habituée à vivre en société. Elle sait se tenir, et elle aime par-dessus tout qu'on lui porte son attention. Mais même avec force flatteries, il reste difficile de s'en faire une amie.
Dream until your dream comes true.
Pour parler en termes simples et dans un registre qui lui est familier, Randall est un joli représentant d'une catégorie d'individus que l'on pourrait qualifier de "loyal mauvais".
Justicier sans grand cœur, cruel mais dans les limites de la loi, son plaisir est rarement partagé.

Pourtant, Randall est un passionné. Romantique, aimant, charmeur et attentionné, il est un bon amant, un bon ami, et une personne de confiance quand on est de son côté. Il aime le show avant tout, la bouffonnerie et le Grand-Guignol. Son humour est sincère, bien qu'un brin absurde, et il n'est pas très rare de se trouver gêné en sa compagnie tant il s'amuse à rire de ce qui peut déranger. Un rire fort et franc, qui vous esquisse un peu plus cette silhouette pleine de vie qu'est Randall en général.

Intelligent, ambitieux et obstiné, il est prêt à mettre tous les moyens en oeuvre pour arriver à ses fins. Peu importe les épreuves qui lui barreront la route, Randall est toujours loyal à ses principes, et contournera subtilement les obstacles. Dans le chaos de la société, sa raison prévaut sur toutes les autres.
Appliqué dans ses calculs et magouilles, le sérieux qu'il peut mettre dans les choses qu'il juge importantes contraste avec l'impatience frénétique qui le caractérise dans la vie de tous les jours.

Fier et indépendant, c'est un personnage que l'on ne devinerait cependant pas rancunier. Il aime pourtant la vengeance plus que tout, adore être le témoin d'une justice rendue dans la douleur. Être le bras armé de cette même justice est pour lui synonyme de plaisir infini. Il aime les jeux de domination, qu'importe le côté où il se tient. Les remontrances d'un supérieur sont presque autant délicieuses qu'un verdict rendu coupable sur autrui.

À mieux le connaître, on devine Randall intolérant, violent et moqueur. Quand on s'écarte de son sentier il développe rapidement une méfiance sournoise qui n'est pas sans danger. "La Loi, c'est moi", aime-t-il à penser. Sanguin et bagarreur, il profite de la moindre occasion dont il sait pouvoir jouir pour donner du poing. Sadisme et masochisme sont deux facettes d'une même pièce qu'il jette à volonté, profitant des délices de tout ce que la vie peut lui apporter.
You got to lose to know how to win.
    Ville d'Illumis _ Alentours de l'avenue Ventôse

"Dernier appel ! Les combattants s'avancent ! Bougez-vous, les paris sont fermés !"
Le bruit des grilles retentit sourdement dans cet espace clos souterrain, secouant la foule d'un mouvement d'excitation. Edmond dut jouer des coudes pour ne pas être repoussé jusqu'aux tréfonds de l'arène. Petit de taille, sa condition physique n'était pas idéale pour pratiquer ce genre de sport, mais il lui fallait pourtant atteindre les premiers gradins. L'odeur de sueur, les cris, la marre de bière répandue au sol sur laquelle il faillit glisser firent jurer tout bas l'aristocrate déchu. Une vague de clameurs s'étendit sur la foule, vrillant ses tympans et ajoutant au musc ambiant une odeur d'aisselles qui obligea Edmond à retenir son souffle plusieurs secondes durant. Se glissant finalement entre deux hommes d'âge mûr à la cravate desserrée sur des chemises ouvertes, le garçon put apercevoir la fosse entre une épaule massive et le crâne rasé d'un vieux truand. Quelques coups d’œils perdus, aveuglés par les projecteurs, et Ed poussa un soupir de soulagement en distinguant la tignasse en bataille de son ami toujours debout au milieu de l'arène.

Le loubard était à terre, se traînant à la hâte sur le sable, au milieu d'un fatras d'immondices jetées depuis les gradins. Le dominant de sa silhouette longue et svelte, un garçon à l'allure de brute le suivait d'un pas décontracté. Les mains enfoncées dans les poches de son sweet, ses cheveux pourpres ébouriffés, Randall présentait des ecchymoses en tous genres qui ne paraissaient pas le gêner. Sa peau pâle semblait grisâtre sous la forte lumière des projecteurs. Son nez droit et fin en aurait fait un jeune homme agréable à regarder s'il ne surmontait pas une bouche étroite, légèrement ouverte sur des dents serrées dans un rictus agressif et agrémentée d'une lèvre fendue ; la colère le disputait au mépris sur cette grimace tendue. Sa démarche souple, semblable aux pas d'un fauve autour de sa victime rampante, laissait toutefois deviner l’extrême tension qui bandait chacun de ses muscles : ses bras secs et dénudés frémissaient constamment sous le flux d'adrénaline et un tic nerveux faisait parfois vibrer son sourcil droit.

Une nouvelle clameur s'éleva, réclamant le châtiment dû au vaincu. Randall releva alors les yeux pour croiser le regard d'Edmond. L'aristocrate secoua la tête, incrédule, alors que son ami se déridait, sortant une main de ses poches pour lui faire un bref signe amical. Son visage s'était détendu pour lui adresser un sourire en coin. Fier et sûr de lui, comme à son habitude. Ses yeux dorés perçants comme l'acier crépitaient d'une lueur victorieuse. Les innombrables piercings qui ceignaient ses oreilles reflétaient la lumière des projecteurs, l'entourant d'un halo clignotant à chacun de ses mouvements. Satisfait d'être à son avantage sous le déluge d'attention qui lui était portée, le combattant secoua ses mains en sautillant, faisant danser ses mèches rousses d'où s'échappèrent quelques gouttes de sueur. Bon joueur, il laissa à son adversaire le temps de se redresser en s'accrochant au grillage de sécurité alors que la foule criait de plus belle. Le jeune combattant ricana avant de reprendre une posture de combat.
Edmond enfouit son visage dépité dans sa paume quand le loubard se retourna brusquement pour envoyer son poing fracasser l'arcade de son ami. Une clameur nouvelle s'éleva. Moins d'une minute plus tard, Randall Vanbel était annoncé perdant.

***

- Ton goût du spectacle te perdra, Randall, souffla l'aristocrate en aidant son compagnon à s'allonger sur un banc miteux, dans une salle de repos minable puant l'urine et le renfermé.
Le rouquin grogna pour toute réponse, repoussant Edmond qui ne s'offusqua pas pour si peu. Tâtant avec une grimace de douleur la plaie ouverte au-dessus de son œil gauche, Randall suivit du regard la silhouette de son ami qui trempait déjà un linge usé sous un vieux robinet. L'eau grisâtre sentait la moisissure, comme tout ce qui se trouvait dans ces anciens vestiaires remaniés en salles d'attente pour les combattants. La tête lui tournait légèrement, mais ce vertige était moins du à la perte de sang découlant de ses blessures qu'à la forte montée d'adrénaline que Randall avait subie quelques instants auparavant ; les contusions n'étaient pour la plupart pas bien sérieuses, mais certaines d'entre elles s'étaient ouvertes, ce qui promettait au jeune homme une ou deux marques inélégantes à arborer durant les semaines à venir.

- C'est pas important... , gloussa-t-il finalement alors qu'Edmond revenait poser l'étoffe humide sur son front, lui arrachant une grimace caustique. La sensation de picotement disparut bien vite, anesthésiée par l'eau froide, et Randall put enfin desserrer les dents pour lancer d'un ton presque impatient : Dis-moi où tu en es.
L'aristocrate se mordit la lèvre, toisant son compagnon un court instant. Il était toujours facile de lire dans le regard acéré du rouquin tout ce qui lui passait par la tête ; colère, mépris, amusement cruel pour la plupart des expressions qu'Edmond lui connaissait à l'accoutumé. Mais aujourd'hui, Randall était dans un bon jour. Aucune fourberie dans ses yeux, seulement cette attente pleine d'espoir. Le noble déchu se savait la chance d'être considéré comme un ami précieux par ce garçon détaché de presque tout, et cette amitié était partagée. C'est pourquoi Edmond De Monteau, fils déshérité, avait décidé de risquer la seule chose qui lui restait à présent pour aider Randall dans sa folle entreprise : son intégrité.

- Tu sais que si quelqu'un découvre le pot-aux-roses, tu risques gros, n'est-ce pas ? insista l'aristocrate, inquiet.
Le rouquin lui répondit de son sourire de brute que peu de gens savaient qualifier de ravi. Jetant la serviette humide pour se redresser en position assise et attraper Edmond par les épaules, sa défaite et l'humiliation qui l'accompagnait ne semblait déjà plus l'affecter. S'il y avait une chose qu'on ne pouvait pas reprocher à Randall Vanbel, c'était d'être mauvais perdant. Certes, le jeune homme était fier et impétueux, mais les déboires de la vie et la société implacable dans laquelle il avait grandi l'avaient suffisamment souvent remis à sa place pour qu'il ne développe pas un orgueil mal placé.

- C'est bien vrai ? Tu l'as reçue ?
A contrecœur, Edmond tendit à son ami la large enveloppe qu'il avait dissimulée dans sa sacoche d'ordinateur. Le rouquin s'en empara et l'ouvrit sans attendre. Enfin, il l'avait entre les mains. La dernière bombe à lâcher avant son départ. L'ultime doigt d'honneur tendu vers la face bourgeoise d'Illumis.
Il rit à nouveau, d'un rire bas et sournois, avant d'enfourner l'enveloppe dans son propre sac-à-dos usé. Il ne devait pas trop tarder, l'épicerie allait bientôt fermer. Sam lui ferait payer de rentrer si tard sans un nouveau sachet de nourriture. Fatigué mais satisfait, le garçon récupéra ses affaires dans un casier branlant, fourra le tout dans son sac en prenant soin de placer au passage une compresse sur son arcade malmenée.

Edmond le regarda faire, lèvres serrées, comme s'il se refusait à prononcer des paroles qui lui brûlaient pourtant la gorge. S'apercevant du malaise de l'aristocrate tandis qu'il enfilait sa veste, Randall lui sourit en le rassurant d'une tape sur l'épaule.

- T'en fais pas, Ed. Ton nom n'apparaîtra nul part. Les Crowley tomberont sans que tu sois jamais inquiété.
- Ce n'est pas pour moi que je m'inquiète, le corrigea son ami en grognant. Randy... Un coup comme ça... t'en sortiras pas avec une simple tape sur les doigts.
Mais l'amusement ne quitta pas pour autant le visage du rouquin alors qu'il enfilait son sac à dos en jetant un coup d’œil à son portable. Randall Vanbel n'était pas un inconscient, Edmond en avait la conviction. S'il s'amusait à tirer le diable par la queue, ce devait être avec assez de discernement pour s'être déjà trouvé une échappatoire.
Comme pour lui prouver qu'il avait raison, le garçon lui colla soudain sous le nez son téléphone, sur lequel était affiché un mail officiel.

- Je déménage mon cher Edmond ! jubila Randall. Fini le petit flic en infiltration dans cette ville pourrie, je pars pour Eternia dans trois jours.
- Tu plaisantes ? balbutia l'aristocrate estomaqué en attrapant le portable pour mieux lire le mail.
Mais Randall ne mentait pas. Il prendrait ses fonctions d'Inspecteur dans deux semaines, à Eternia City, cette immense communauté qui se targuait d'être aujourd'hui l'endroit le plus sûr au monde. Et pourtant, comme partout, la pourriture s'installait, et la ville était en demande constante de nouveaux Inspecteurs. Il n'y avait pas à en douter, s'il s'agissait de chasser des déchets, le rouquin serait tout à son aise là-bas.
Edmond se mordit la lèvre inférieure, et rendit lentement son portable à son ami qui le fourra négligemment dans sa poche. Il aurait aimé lui dire à quel point il était vexé de ne pas avoir été prévenu plus tôt, lui, son meilleur ami. Mais il savait aussi que le bouder pour cela serait parfaitement égoïste ; Randall avait du orchestrer ça depuis des mois dans le secret le plus total. Il était après tout sur un gros coup, le plus gros coup de sa carrière et même de celle de ses collègues. Edmond savait qu'il s'attaquait à un trop gros poisson, le clan Crowley ne tomberait pas si facilement, pas sans emporter quelques têtes avec lui. Fuir la région tout de suite après avoir posté le paquet semblait être le meilleur choix à faire pour le jeune policier.

L'aristocrate soupira.
- Je suppose qu'on va simplement se dire au revoir ? Tu n'as pas peur pour ta famille ? s'inquiéta Edmond.
Mais Randall haussa les épaules avec désinvolture.
- Le Crowley sont peut-être des gros bonnets, mais ils n'ont quasiment pas d'influence à Yantreizh. Et puis, si tout se passe comme je l'ai prévu, je serai loin d'être leur première piste.
Son compagnon acquiesça, toujours soucieux, mais décidé à faire confiance au jeune homme. Un bras robuste mais chaleureux passé autour de ses épaules l'invita à quitter cet endroit puant pour se diriger vers la sortie de l'arène clandestine. Ils rejoignirent bientôt les rues bruyantes d'Illumis, où quelques réverbères s'étaient déjà allumés alors que le soleil était encore bien présent.
Depuis combien de temps se connaissaient-ils ? se demanda Edmond De Monteau. Près de dix ans, oui. Depuis ce jour où le jeune étudiant en école de police lui avait fait du gringue par un bel après-midi d'été, plongeant l'aristocrate dans un état de panique rarement égalé. Il ne leur faudrait pas plus de quelques semaines pour devenir bons amis, et ce malgré le caractère étrange et souvent difficile à cerner du rouquin. Deux ans après, le père d'Edmond mettait à jour les dettes de son fils envers les trois casino qu'il côtoyait, et Edmond était déshérité. Beaucoup de ses anciens amis lui avaient tourné le dos, car la noblesse ne pardonnait pas à Illumis. Randall, quant à lui, ne l'avait pas lâché. Il lui avait prêté de l'argent bien sûr, l'avait logé dans son studio à plusieurs reprises jusqu'à ce qu'il parvienne à se retourner. Alors, quand il songeait à la perspective de voir ce si précieux ami disparaître à l'autre bout du monde, Edmond sentait sa gorge se serrer.
Ce soir-là, ils sortirent traîner aux bars, après que Randall soit rentré nourrir la bête sauvage qui lui servait de partenaire. Les verres tintèrent à plusieurs reprises, dans une joie qui parvenait malgré tout à s'installer.

- Comment c'est, Eternia, d'après toi ? questionna Edmond alors que son esprit flottait légèrement, observant une affiche à l'autre bout du bar.
- Mec ! s’esclaffa Randall. J'y vais pour tâter le terrain. Et dès que j'aurais fait mon trou, promis, y aura toujours un canapé pour toi.
L'aristocrate sourit, et ils trinquèrent un dernière fois.
Toi et rien que toi
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// Mar 10 Avr - 13:25
Rewelcommme 8D
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// Ven 13 Avr - 1:12
Merci Riley !!

Et j'ai ENFIN fini, je suis joie ! ;v;
C'était pas si compliqué pourtant X,D
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// Ven 13 Avr - 15:02
Fiche d'identité acceptée !
Bienvenue dans la belle ville d'Éternia ! Tu possèdes désormais un Armillam Pulsar (implanté au poignet, tu peux choisir sa couleur comme bon te semble.) qui te permet d'être au niveau 5, mais tu obtiens également un nouveau partenaire ainsi que des objets divers et variés : 10 pokéballs, 5 potions et 2 000p$.

N'oublie sur tout pas :
  1. de recenser ton avatar
  2. de créer ton dossier
  3. de créer ta fiche relation
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  6. de demander un logement


Le hasard va désormais décider si tes pokémons sont chromatiques ou non.
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